Bienvenue dans cette revue hebdomadaire du Cloud et de l’Infrastructure as Code (IaC) !
haque semaine, nous décryptons les actualités, tendances et innovations majeures qui façonnent l’univers du cloud computing. À travers une sélection de sources fiables et spécialisées : blogs techniques, forums d’experts, réseaux sociaux et publications officielles nous vous proposons un résumé clair et structuré pour rester informé.
Avertissement : Contenu généré par IA avec MistralIA
Cet article a été généré automatiquement à l'aide d'une intelligence artificielle. Bien que nous nous efforcions d'assurer l'exactitude des informations, des erreurs ou imprécisions peuvent subsister.Si vous constatez une erreur ou souhaitez signaler un problème, n'hésitez pas à me contacter :
Email : pro@sarquentin.fr
LinkedIn : Quentin Sar
Le résumé de la semaine
Cette semaine, l'actualité du cloud et des technologies associées a été riche en annonces et en réflexions approfondies. HashiCorp a marqué les esprits avec la sortie de Vault Enterprise 1.21, une version majeure qui introduit des fonctionnalités avancées telles que l'authentification SPIFFE, la conformité FIPS 140-3 Level 1, et une récupération granulaire des secrets. Ces innovations visent à renforcer la sécurité et l'expérience utilisateur, tout en répondant aux besoins des environnements hybrides et multi-cloud. Parallèlement, HashiCorp a partagé des conseils précieux pour les équipes de sécurité cloud, en posant 15 questions cruciales pour évaluer et améliorer la posture de sécurité dans des environnements complexes. Un autre article met en lumière les sept signaux d'alerte indiquant qu'une stratégie cloud nécessite un réajustement, soulignant l'importance de l'automatisation et de la standardisation pour éviter les pièges courants.
Dans le domaine de Kubernetes, plusieurs avancées notables ont été présentées. Terraform Actions, une nouvelle fonctionnalité, intègre des opérations de gestion d'infrastructure (Day 2) directement dans les workflows Terraform, simplifiant ainsi la gestion continue des infrastructures. Un article explore également comment connecter des clusters Kubernetes distribués avec Cilium et SD-WAN, offrant une solution pour une connectivité intelligente et sécurisée. De plus, la Cloud Native Computing Foundation (CNCF) a annoncé l'adoption de LFX Self Service pour la gestion des calendriers, une initiative visant à automatiser et à donner plus d'autonomie aux projets. La CNCF a également lancé la version bêta du Cloud Native Maturity Model 4.0, qui intègre de nouvelles dimensions comme l'IA et FinOps, et invite la communauté à contribuer.
Enfin, des articles pratiques ont été publiés pour aider les utilisateurs à éviter les pièges courants avec Kubernetes, et à appliquer efficacement le contrôle d'accès basé sur les rôles (RBAC) aux bases de données dans des environnements Kubernetes. Ces ressources offrent des conseils concrets pour optimiser les déploiements et renforcer la sécurité. Cette semaine a donc été marquée par des innovations technologiques significatives et des initiatives communautaires visant à améliorer la gestion des infrastructures cloud et des environnements Kubernetes.
L'évolution de HashiCorp Vault avec la version 1.21
HashiCorp a récemment lancé Vault Enterprise 1.21, une mise à jour majeure qui introduit plusieurs fonctionnalités avancées pour sécuriser les flux de travail et améliorer l'expérience utilisateur. Parmi les nouveautés les plus notables, on trouve le support de l'authentification SPIFFE, qui permet une authentification sécurisée des agents d'IA et d'autres identités non humaines. Cette fonctionnalité est particulièrement utile dans les environnements hybrides et multi-cloud, où la validation de l'identité et la confiance sont cruciales.
La version 1.21 de Vault Enterprise inclut également des secrets protégés par VSO (Vault Secrets Operator), qui permettent de fournir des secrets directement aux pods Kubernetes sans les stocker de manière persistante dans les secrets natifs de Kubernetes. Cela réduit les risques de fuite de données sensibles. De plus, la rotation statique des rôles Azure permet une rotation sécurisée des identifiants Azure à la demande, facilitant l'adoption de pratiques de sécurité zero-trust.
Un autre point fort de cette mise à jour est l'inscription automatique TOTP (Time-based One-Time Password) lors de la connexion, qui simplifie la configuration de l'authentification multi-facteurs (MFA) et réduit la charge opérationnelle. La récupération granulaire des secrets permet de restaurer des secrets et des éléments de configuration individuels sans avoir à effectuer un rollback complet du cluster, améliorant ainsi l'efficacité et réduisant les perturbations.
Enfin, Vault Enterprise 1.21 est en cours d'attestation pour la conformité FIPS 140-3 Level 1, une norme de sécurité cryptographique de haut niveau. Cette conformité est essentielle pour les clients opérant dans des secteurs réglementés tels que la finance, la santé et le gouvernement. La version inclut également des améliorations pour la gestion des paires clé-valeur (v2), permettant une meilleure attribution des modifications des secrets.
Optimiser la sécurité cloud avec des questions clés
La gestion de la sécurité dans des environnements multi-cloud et hybrides représente un défi majeur pour de nombreuses organisations. La complexité inhérente à chaque plateforme cloud, avec ses outils et contrôles spécifiques, complique la tâche des équipes de sécurité et d'infrastructure. Pour faire face à ces défis, il est essentiel d'adopter une approche proactive de la gestion des risques, d'améliorer la posture de conformité et d'intégrer des pratiques zero-trust.
Un article récent propose 15 questions clés que les organisations devraient poser à leurs équipes de sécurité cloud pour évaluer et améliorer leur stratégie de sécurité. Parmi ces questions, on trouve des interrogations sur la manière dont les vulnérabilités de sécurité sont identifiées et traitées, comment les politiques de sécurité sont appliquées de manière cohérente à travers différents fournisseurs cloud, et quelles mesures sont prises pour prévenir les accès non autorisés aux données.
Les réponses à ces questions permettent de mettre en lumière les lacunes potentielles et d'identifier les domaines nécessitant une attention particulière. Par exemple, l'absence de processus automatisés pour la rotation des secrets ou la gestion des identités peut exposer l'organisation à des risques de sécurité importants. De même, le manque de visibilité sur les environnements cloud peut rendre difficile la détection des déviations de configuration ou des activités suspectes.
En posant ces questions et en analysant les réponses, les organisations peuvent mieux comprendre leur posture de sécurité actuelle et identifier les actions nécessaires pour renforcer leur défense contre les cybermenaces. Cela inclut l'adoption de solutions de gestion des identités et des accès, l'automatisation des processus de sécurité, et l'intégration de pratiques zero-trust pour minimiser les risques liés aux accès non autorisés.
Les signaux d'alerte d'une stratégie cloud défaillante
Dans les environnements hybrides, il est fréquent que les signes avant-coureurs de problèmes soient ignorés, conduisant à une accumulation de difficultés qui finissent par submerger les organisations. Selon le rapport 2025 sur la complexité cloud, 52% des organisations considèrent la complexité hybride comme leur plus grand défi infrastructurel. Reconnaître les signaux d'alerte précoces permet aux entreprises de rectifier le tir et de retrouver un chemin vers une infrastructure rapide, sécurisée et optimisée.
Plusieurs indicateurs doivent alerter les organisations. Par exemple, l'accumulation d'outils sans amélioration réelle des processus est un signe révélateur. Les entreprises utilisent en moyenne cinq outils ou plus pour gérer leur infrastructure cloud, ce qui peut en réalité aggraver les problèmes existants en fragmentant les données et en compliquant la gestion des politiques de sécurité.
Les factures cloud imprévisibles sont un autre signal d'alarme. Des coûts variables et imprévus peuvent impacter l'ensemble de l'organisation, réduisant les budgets disponibles pour des initiatives innovantes. Les organisations performantes surveillent constamment leurs dépenses cloud et sont alertées en cas d'écarts significatifs pour pouvoir réagir rapidement.
La sécurité qui ralentit les processus ou est contournée est également un problème courant. Les équipes de développement doivent intégrer les protocoles de sécurité dans leurs applications, ce qui peut entraîner des standards inconsistants et des vulnérabilités difficiles à détecter et à corriger. Les organisations matures investissent dans la livraison continue et automatisée de la sécurité, en intégrant des politiques de base dans des modèles accessibles via des interfaces en libre-service.
L'absence de feuille de route partagée entre les équipes de plateforme et de sécurité est un autre indicateur de problèmes. Souvent, ce problème est technologique plutôt qu'organisationnel, les ingénieurs et les professionnels de la sécurité travaillant dans des systèmes différents, ce qui divise les flux de travail et rend difficile l'application des normes de sécurité. Une plateforme unifiée permet une gestion collaborative du cycle de vie des charges de travail cloud, réduisant ainsi la complexité hybride.
Les correctifs manuels qui consomment un temps précieux sont également un signe de difficulté. Sans infrastructure as code comme base, il est difficile d'automatiser ces responsabilités disparates. Lorsque les ingénieurs passent leur temps à résoudre des problèmes de manière réactive, ils ne peuvent pas se concentrer sur des tâches proactives. C'est pourquoi de nombreuses organisations se tournent vers l'automatisation pilotée par l'IA pour aider à la gestion cloud.
Enfin, le fait de ne pas avoir une stratégie claire, mais simplement d'augmenter les dépenses cloud, est un autre signal d'alarme. Les entreprises ont besoin d'un plan plus large pour transformer l'infrastructure en un avantage concurrentiel. Il est essentiel d'avoir une responsabilité mutuelle pour les environnements cloud et une concentration partagée sur les meilleures pratiques de sécurité. Une plateforme unifiée aide à atteindre cet objectif en intégrant invisiblement les normes et les meilleures pratiques dans les flux de travail des développeurs.
Terraform Actions pour une gestion avancée des infrastructures
Dans un monde hybride et multi-cloud, la gestion des infrastructures devient de plus en plus complexe. L'augmentation du nombre de fournisseurs et de services utilisés rend la tâche ardue pour les clients qui doivent gérer leur infrastructure à travers les clouds publics et les infrastructures locales. L'effort nécessaire pour construire et maintenir ces infrastructures dépasse souvent la capacité humaine, augmentant ainsi les risques organisationnels et la complexité.
Cette nouvelle réalité souligne la nécessité d'une gestion plus efficace du cycle de vie de l'infrastructure, utilisant l'automatisation pour construire (Jour 0), déployer (Jour 1) et gérer (Jour 2+) l'infrastructure au fil du temps. Terraform de HashiCorp est largement adopté pour les opérations CRUD de Jour 0/1, offrant une approche déclarative, reproductible et contrôlée par version pour la provision de l'infrastructure.
Cependant, les organisations adoptant des infrastructures hybrides cloud constatent rapidement que la gestion efficace de l'infrastructure au fil du temps nécessite bien plus que le simple provisionnement initial. C'est pourquoi HashiCorp a introduit Terraform Actions, une nouvelle fonctionnalité qui intègre des opérations de gestion d'infrastructure (Jour 2) directement dans les workflows Terraform.
Les opérations de Jour 2, telles que les mises à jour, les correctifs et la décommission, sont souvent gérées en dehors de Terraform, ce qui peut entraîner des flux de travail fragmentés et une surcharge administrative. Terraform Actions permet de déclencher des outils tiers directement depuis Terraform, en automatisant les tâches de gestion d'infrastructure courantes. Ces actions peuvent être invoquées avant ou après les événements du cycle de vie d'une ressource, ou de manière ad hoc via la commande CLI terraform apply -invoke.
Cette intégration permet de réduire les coûts opérationnels et d'accélérer la livraison en automatisant des tâches auparavant manuelles et sujettes aux erreurs. Terraform Actions offre deux avantages majeurs pour les utilisateurs de Terraform : une gestion unifiée des opérations de Jour 2 et un flux de travail natif. En intégrant davantage d'opérations de gestion d'infrastructure dans Terraform, les utilisateurs peuvent étendre son utilité en unifiant plus d'opérations dans un seul plan de contrôle, assurant ainsi la cohérence et rapprochant les équipes d'une source unique de vérité pour toute l'infrastructure.
Connecter Kubernetes avec Cilium et SD-WAN
Les architectures distribuées deviennent de plus en plus courantes pour répondre aux exigences croissantes en matière de performance, de résilience et de portée mondiale. Cette évolution est stimulée par des charges de travail émergentes qui nécessitent une infrastructure distribuée, telles que l'entraînement de modèles d'IA/ML réparti sur des clusters de GPU, l'analyse en temps réel des flux de données IoT, et les opérations d'entreprise mondiales nécessitant une connectivité transparente entre les charges de travail sur site, les centres de données, les fournisseurs de cloud et les emplacements de bordure.
Cependant, les entreprises ont de plus en plus de difficultés à assurer une connectivité mondiale sécurisée, fiable et haute performance tout en maintenant une visibilité sur cette infrastructure distribuée. Comment maintenir des politiques cohérentes d'un bout à l'autre lorsque les applications traversent plusieurs frontières réseau ? Comment optimiser les performances pour les applications sensibles à la latence lorsqu'elles peuvent être exécutées n'importe où ? Et comment obtenir une visibilité claire sur la communication des applications à travers ce paysage complexe, multi-cluster et multi-cloud ?
C'est là qu'une approche moderne et intégrée du réseau devient essentielle, une approche qui comprend à la fois les subtilités de Kubernetes et les exigences des réseaux étendus. Explorons une proposition pour interconnecter de manière transparente vos clusters Kubernetes, indépendamment de leur emplacement, tout en gérant intelligemment les chemins réseau sous-jacents. Une telle approche intégrée résout plusieurs besoins critiques pour les entreprises :
Une posture de sécurité unifiée : application cohérente des politiques de la couche réseau étendue jusqu'aux microservices individuels. Une performance optimisée : routage intelligent du trafic qui s'adapte aux conditions en temps réel et aux exigences des applications. Une visibilité mondiale : observabilité de bout en bout à travers toutes les couches de la pile réseau.
Dans cet article, nous discutons de la manière de connecter Cilium avec un réseau étendu logiciel défini (SD-WAN) pour étendre la gestion native du trafic Kubernetes et les politiques de sécurité à l'interconnexion réseau sous-jacente. Apprenez comment cette intégration simplifie les opérations tout en délivrant les performances et la sécurité que les charges de travail distribuées modernes exigent.
Le Cloud Native Sustainability Month 2025
Le Cloud Native Computing Foundation (CNCF) organise pour la quatrième année consécutive son Sustainability Month, un événement mondial visant à promouvoir les pratiques durables dans le domaine du cloud native. Cette initiative, soutenue par le Technical Advisory Group (TAG) Operational Resilience, vise à rassembler les communautés locales pour discuter des technologies et des stratégies permettant de réduire l'empreinte carbone des infrastructures cloud.
Le Sustainability Month offre une plateforme pour explorer les dernières innovations en matière de cloud native durable, connecter les experts et les passionnés, et partager les meilleures pratiques pour réduire l'impact environnemental des infrastructures cloud. Les participants peuvent assister à des sessions locales ou en ligne, échanger des idées et contribuer à la création d'un écosystème technologique plus responsable.
L'événement met l'accent sur l'importance de l'adoption de technologies durables pour répondre aux défis environnementaux actuels. Les organisations peuvent tirer parti des solutions cloud native pour optimiser l'utilisation des ressources, réduire les émissions de carbone et améliorer l'efficacité énergétique. Le Sustainability Month encourage les participants à adopter des pratiques durables dans leurs projets cloud native et à partager leurs expériences avec la communauté.
Les organisateurs du CNCF invitent les communautés locales à participer en ajoutant leurs événements à la liste globale et en rejoignant le canal Slack dédié pour rester informé des dernières nouvelles et des opportunités de collaboration. Le mois de la durabilité cloud native est une occasion unique de contribuer à la construction d'un avenir plus vert et plus responsable pour l'industrie technologique.
Sources
- Vault Enterprise 1.21
- 15 questions to ask your cloud security team
- Do cloud wrong: 7 red flags your strategy needs a reset
- Day 2 infrastructure management with Terraform actions
- Connecting distributed Kubernetes with Cilium and SD-WAN: Building an intelligent network fabric
- Cloud Native Sustainability Month 2025: A global community movement for greener tech
- CNCF embraces LFX Self Service for calendar management
- Cloud Native Maturity Model 4.0 (Beta): Reflecting what’s next for cloud native — and we want your input
- Applying RBAC to databases on Kubernetes: Practical, real-world examples
- 7 Common Kubernetes Pitfalls (and How I Learned to Avoid Them)


